L’affaire Groupe Lucien Barrière, qui a réveillé l’intérêt des groupes français ayant souffert de pertes définitives à l’étranger par le truchement de filiales pour la jurisprudence Marks & Spencer, n’aura finalement pas connu, en dépit des nombreux twists dont elle fit l’objet, d’happy ending.
Découvrez l'éclairage d'Emmanuel Raingeard de la Blétière, avocat associé, et Valentin Leroy, publié dans la Lettre Gestion des Groupes Internationaux dans le numéro Option Finance du 29 Novembre 2021.
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